huile sur toile, 2018, 92x60cm
Cette toile sera exposée dimanche 20 mai au Marché de la Création des artistes de Montparnasse. Je vous attends sur mon stand et il fera beau.
PEINTURE
huile sur toile, 2018, 92x60cm
Cette toile sera exposée dimanche 20 mai au Marché de la Création des artistes de Montparnasse. Je vous attends sur mon stand et il fera beau.
Librairie de Belleville où nous avons dédicacé l’ouvrage « De lignes en Ligne » rédigé par Nicolas Barberon et Annaïg Plassard aux éditions Eyrolles, en octobre dernier. Ils rassemblent les dessins de 75 croqueurs de ligne selon une thématique géographique. Je suis au chapitre Ligne B, bien entendu.
Ce soir-là nous étions nombreux et l’ambiance était très sympa. D’où l’envie de la saisir sur cette petite toile à l’huile.
Et voici quelques petits formats qui partiront demain pour l’exposition en faveur du Téléthon à la Galerie 75 m2 d’art à Olivet, près d’Orléans, du 3 au 6 décembre prochain.
La jeune fille au béret rouge 41 x 27 cm, 2015
La lectrice à Châtelet, 41 x 27 cm, 2015
Chemin Vert, 24 x 16 cm, 2014
Je participe à Passerelle 2012. vernissage le jeudi 6 décembre de 19h à 21h. passerelleaffiche2012
Ce début d’année 2012 est très riche pour l’artiste que je suis. On pourra ainsi me voir à l’exposition du collectif de Lignes en ligne. Elle commence ce mois d’avril et continuera jusqu’en 2013. Vous ne pourrez malheureusement pas la voir, cette exposition étant exclusivement réservée aux salariés de la RATP.
Elle est organisée par les Elus du CRE RATP et la Direction de la Culture et des Loisirs.
Y sont réunis 150 artistes qui comme moi croquent le métro et RER parisiens.
Pour plus d’informations :
Du 3 au 31 mars Jacqueline Chesta expose en duo avec Amadou Gaye, photographe, dans les salons de la médiathèque de la ville de Fontenay-aux-Roses . Dans le décor du Château Sainte Barbe, les métro et RER de notre capitale seront sublimés. Si ces artistes fontenaisiens proposent deux visions de Paris, pour l’un dessus, pour l’une dessous, ils partagent un même talent pour mettre en scène la vie quotidienne des parisiens. On se souviendra que le métro a tenu une place importante dans le monde des Arts au XXe siècle, il fut en effet le théâtre de la naissance de l’Art urbain. De lieu d’exposition, il devient objet du regard artistique.
Depuis cinq ans, Jacqueline Chesta retranscrit sur de petits carnets la routine du RER B et du métro. De ces dessins pris sur le vif au stylo pinceau, est née la série des peintures sur toile de lin brut : “Croquis sur Toile”. À travers des personnages vigoureusement dessinés, l’artiste magnifie la routine de tous les jours en mettant l’accent sur les individus. Sur un fond de toile de lin brut les personnages se détachent vivement, éclats de chair colorée entre les quatre murs de leur prison mobile.
Habitué à photographier Paris comme avec ses séries “Paris la Douce” et “Paris la Garce”, Amadou Gaye s’est concentré ici sur la ligne 2 du métro, entre Nation et la Place Clichy. Sous sa lentille, Paris devient une ville métisse et biculturelle. Armé de son appareil en bandoulière, cet ancien reporter-photographe saisit sur le vif un geste, un regard ou une posture, pour un résultat sobre et épuré.
Paris Dessus Dessous réunit deux artistes habitués des expositions et primés par des collectionneurs de nombreux pays. Fontenay souligne et encourage par cette exposition les talents présents chez ses habitants.
“Rendez-vous avec le public”, le samedi 10 mars dans les salons de la médiathèque. Les artistes seront aussi présents les samedis 17 mars (à 15h) et 24 mars (à 16h).
J’ai commencé Le Diable rouge par une dizaine de croquis au brou de noix sur papier à partir de mes carnets Fabriano réalisés dans la ligne B. L’une des dernières étapes a été le papier kraft (225 cm sur 100 cm) à droite de l’image. Puis j’ai eu envie de refaire une version sur toile à l’acrylique.
La photo suivante présente un détail de la toile de gauche à l’acrylique, le portrait de la blonde n’est pas terminé.
Voici la version acrylique sur toile finale.
La photo n’est pas très nette. Tant pis, le mieux c’est encore de venir voir la toile à l’atelier.